Putain... Que c'est bon. Les lilliputiennes molécules éthyliques se repartissent dans son sang, elles ont atteint son cerveau à une vitesse impressionnante. Ça faisait longtemps qu'elles n'étaient pas venues mettre un peu de zizanie dans son corps animal... Elles ne lui ont pas tant manqué, mais là... Julien doit admettre que c'est pas mal. La dopamine lui pète bien là où il faut. Un de ces rares moments où l'on est absolument ravi d'être précisément ici et maintenant, et non pas dans l'infinité d'autres combinaisons qui peuvent exister entre ces deux variables. D'ailleurs, ces autres possibilités ne sont vivantes que dans la tête de celui qui les imagine...
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